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Contact

11, rue Saint Victor
1227 Carouge (CH)

aubertjansem.ch
+ 41 78 647 27 73
info@jansemaubert.ch

Afin de mieux vous accueillir,
La galerie est ouverte 7 jours sur 7 uniquement sur rendez-vous.

Nous n’acceptons pas les candidatures d’artistes.


Lorraine Aubert

Née à Genève, Lorraine Aubert s'installe à Paris à l'âge de 16 ans pour étudier le droit et l'histoire de l'art. Après avoir décroché son Master en droit des affaires et fiscal à l'Université Paris II-Assas puis sa licence en histoire de l'art à la Sorbonne, Lorraine Aubert intègre la maison de vente Tajan en 2001. Pendant 14 ans Lorraine perfectionne son expertise, d’abord comme responsable pour la valorisation des œuvres artistiques divers, puis comme spécialiste sénior pour l’art déco et le design. En 2015, elle décide de rentrer à Genève et d'y ouvrir sa propre galerie et société de conseils et d'inventaire en collaboration avec Bruno Jansem. 

Lorraine Aubert est également chargée d'enseignement des techniques d'expertise à l'EAC, établissement d'enseignement supérieur d'Art.

Bruno Jansem

Fils d’un conservateur et galeriste, petit-fils du peintre Jean Jansem, Bruno Jansem, né à Paris, obtient son diplôme en droit des affaires en 1995 à l'Université Paris II-Assas, puis poursuit ses études à L’Ecole du Louvre, qu'il enrichit par les langues orientales, l’art moderne et la graphologie. 

Auprès de Christie’s, l'Etude de Briest et  Drouot, Bruno perfectionne ses compétences de commissaire priseur. En 1999, Bruno rejoint l'Etude Tajan. Il consacre 10 ans à la maison de ventes aux enchères Française, dont sept ans au poste du directeur de département de l’art moderne. 

En 2008, Bruno Jansem décide d’être un acteur indépendant dans sa profession et monte sa propre galerie à Paris puis à Genève en collaboration avec Lorraine Aubert.

En parallèle, Bruno Jansem est chargé d'enseignement à l'EAC, établissement d'enseignement supérieur d'Art depuis 2012. Il y enseigne auprès des Bac + 5 les spécificités du marché de l'art moderne. 


Qui sommes-nous ?

Image: (c) S. Dubouchet/The Cube Productions

Image: (c) S. Dubouchet/The Cube Productions

Lorraine Aubert et Bruno Jansem

Pour apprécier et comprendre le mode de pensée de nos deux galeristes, on doit lire entre les lignes des mains de Lorraine et voir celles de Bruno comme les frontières infinies qu’il a traversées. Pour reconnaître leurs réalisations, vous devez voir à travers leurs yeux.
‘L’Histoire ne se répète pas, elle rime’ dit Mark Twain. Allons donc lire et rimer.
Lorraine, héritière d’une brillante famille dont l’histoire illumine son parcours de vie. Avec sa généalogie remplie de personnalités reconnues, elle se veut fixer sa propre ligne de vie tout en s’appuyant sur des valeurs ancestrales en les exprimant par sa passion pour l’art et en s’efforçant de les transmettre, avec beaucoup de soin, aux générations suivantes. Telle est sa contribution à son héritage permanent, des racines profondes qu’elle enrichit par son expérience.
Sa mère qui chérissait une vie tranquille et intime suscite chez Lorraine l’intérêt pour l’art et l’esthétique ; son père, extraverti, sociable et jouissant d’une riche vie publique, fait bénéficier à Lorraine d’un sens de l’entregens et lui permet ainsi de réunir ces deux expériences à priori antinomiques. En combinaison avec des résultats académiques brillants, cela lui a permis de concrétiser une approche holistique, un élément fondamental de l’expression artistique qu’elle veut incarner. Elle maintient un équilibre parfait entre la conscience de soi et l’ouverture aux autres.
Lorraine sait toujours tirer le meilleur des épreuves et des cadeaux de la vie – elle ne renonce à rien et transforme tout. Ce principe lui permet d’avoir un point de vue lucide en la renforçant non seulement en tant que femme, mais aussi en tant que mère et fille.
Pour comprendre Bruno et son caractère, imaginez une famille constamment influencée par un sens moral extrêmement fort, l’inter-culturalisme et les arts, source parfaite pour développer sa curiosité, inciter de hautes attentes et vivre sa passion du voyage.
Intuitivement, Bruno tire son savoir-faire et son expérience de différentes sphères comme le droit, l’art et la culture. Il cultive un mélange astucieux de rigueur intellectuel et de créativité.
Ce qui lui permet de se distinguer dans le monde de l’expertise et du courtage.
Sa connaissance de la nature lui a également permis de se dédier à la conservation et la bienfaisance à travers l’art, à l’instar de sa passion inhérente du voyage loin des sentiers battus.
Des parcours de vie différents, des valeurs et une passion de l’art communes – Lorraine et Bruno honorent leurs racines et leurs cœurs. Tous deux illustrent la capacité de choisir le mouvement et son ampleur. Pour tous deux, l’innovation va de pair avec la lignée.
Ce duo d’aventuriers inspire ceux qui connaissent le passé, vivent dans le présent et créent l’avenir.


Image:(c) Moz-art

Image:(c) Moz-art

L’espace

L’architecture de Carouge, évocation des maisons sardes, témoigne en effet de la volonté du roi de Sardaigne de construire au XVIIIème une ville qui fasse concurrence à la cité de Calvin.
L’emplacement géostratégique de Carouge, et sa politique particulièrement libérale, tant économique que religieuse, ont favorisé un développement commercial rapide et une industrie, notamment de vin, florissante. Cette tolérance, à laquelle la Révolution française mettra un terme, permis toutefois d’apporter à Carouge ce je ne sais quoi qui transparait constamment encore aujourd’hui et permet sans doute de mieux comprendre la tradition artistique et artisanale de la ville, sans compter sa tradition de bouche tout aussi importante. Carouge est actuellement une ville de 22 000 habitants et 21 000 entreprises dont nous sommes heureux de faire partie et de s’inscrire ainsi dans cette tradition.

Notre espace, au coeur de carouge, sis au Rue Saint-Victor 11, sur la ligne 12 du tram qui fut un des premiers en Europe, présente ainsi toutes les caractéristiques sardes:

Un grand espace articulé autour d’une cour intérieure, situé au rez de chaussée d’un bâtiment à deux étages, dont les destinations sont encore respectées  : le rez de chaussée pour le commerce avec ses arcades d’origine, les étages pour les habitations.

La galerie s’est d’ailleurs installée dans cet espace de 200 m2 en respectant l’esprit du lieu et en en conservant ainsi tout le charme.


 

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